dimanche 29 avril 2007

LA SOCIETE ORGANISEE A POSTERIORI

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Salut,

On peut observer que chaque pays a ses caractéristiques et que les peuples vivent de façon différente les uns des autres. Chaque continent présente une certaine ressemblance dans les attitudes, ce qui fait qu'un Asiatique a certaines particularités que l'Européen n'a pas ; les Américains pensent à peu prés la même chose et que les Africains poursuivent leur existance sui-generis. Cette attitude caractéristique de chaque région du globe provient fondamentalement de sa façon de sentir et de penser.
Mais la finalité est de vérifier pourquoi certains peuples sont retardés et plus malades tandis que les autres continuent à se développer ou se sont arrêtés. La première conclusion qui s'impose est que:

a) les Asiatiques sont ceux qui se développent le plus en ce moment;
b) les Américains sont stationnaires ou sont entrés en décadence;
c) les Africains n'arrivent pas à sortir de leur primitisme;
d) les Européens ont retrouvé un certain souffle vers le progrés.

Cependant, on note nulle part une reprise du développement culturel, artistique, scientifique et technique centré au même endroit. Ceci nous avertit qu'il se passe quelque chose d'anormal dans la société humaine terrienne. Il faut admettre que la civilisation dans son ensemble passe par une crise aiguë qu'il serait urgent de comprendre pour qu'elle puisse être soignée à temps et ne périsse pas complètement.
En comparant la pathologie sociale et la pathologie psychique, on constate que la cause de tous les maux humains et sociaux réside dans le comportement social et individuel, basé sur les sentiments et les pensées; si ces derniers sont déformés ou détruits, la société et l'homme deviendront malades. Il y aura alors nécessité de les guérir pour qu'ils retrouvent leur équilibre et la civilisation. La première démarche décisive est de prendre conscience à la société.
On observe qu'en Europe, il existe des peuples agressifs, d'autres dépressifs, et certains de caractére aimable et équilibré. On peut noter une certaine hétérogénéité entre le comportement isolé et trés affectif, et une attitude un peu originale de certains. En général, tous ont conservé une base culturelle commune qui pourra être développée avec excés.
Pour "guérir" une société, il est nécessaire:

1) de voir les erreurs présentes et passées;
2) de n'autoriser par suite que certain. De sorte qu'il y a 2 démarches: la prise de conscience des problèmes ou l'acceptation de toute la réalité qui avait été récusée.

La Société à priori est basée sur la Fantaisie, l'Imagination et l'Intellect. De ceci, le Fanatisme, le Dogmatisme et l'Occultisme apparaissent dans ce type de société ainsi qu'une Science à priori, une Philosophie à priori et une Théologie à priori.
La Société à postériori se base sur l'Expérimentation et Intellect, l'Intuition et la Conscience et le Sentiment et Sens. Sur cette base, la connaissance est en action pour une technique, une cosmovision et spiritualité en phase avec la réalité; ce début de la connaissance crée une Science, une Philosophie et une Théologie positive; et la base de la connaissance est en contact fondamental avec la réalité.
Dans la société à priori domine une pseudo science, philosiphie et théologie. Je pourrai donner comme exemple l'Inde, jusqu'à ces dernières années, les peuples Africains et en partie le Moyen Orient.
Les sciences organisées, à postériori, sont en général plus avancées( Européennes, Asiatiques et Américaines). Cependant, certaines peuvent changer de phase. Par exemple, les Anglais et les Américains qui étaient profondément expérimentales sont revenus à l' apriorisme, ce qui les a conduits au déclin surtout moral. Les peuples Asiatiques sont entrain de sortie de leur attitude subjective et d'élaborer une civilisation ultramoderne.
La société à priori ne se devéloppe pas ou même périt parce qu'elle vit dans le fanatisme, le dogmatisme, et l'occultisme en dehors de la réalité. Seuls, les groupes à postériori réussissent à croitre parce qu'ils travaillent avec le réel.

Un pays ne vaut que par son peuple et non pas pour sa superficie ou l'importance de ses richesses naturelles.

dimanche 22 avril 2007

LA SOCIETE CREEE A PRIORI

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salut,

Je me livre un texte de NORBERTO.R.KEPPE qui est un psychanalyste brésilien, fondateur de la psychoanalyse intégrale qui s'appellera plus tard Trilogie Analytique.
C'est l'unification de la spiritualité, de la philosophie et de la science. Son expérience pratique dans le domaine de culture,de psychologie, de psychanalyse et de réligion ainsi que ses enseignements par sa personnalité charismatique m'ont permis de me rendre compte que je ne suis pas malade. J'ai un minimum d'équilibre afin de prendre une certaine distance vis-à-vis de la pathologie de la société et je suis capable de l'analyser.
Il dit toujours que ce qui alimente sa propre pathologie est facilement accepté, alors que tout ce qui aide à son développement est rejeté.

L'être humain contemporain pense pouvoir accepter ou refuser ce qu'il veut et qu'il existe une "liberté "absolue pour faire le bien ou le mal, sans devoir contrarier un désir quelconque dans ce sens.
Pourtant dans la réalité, il ne s'agit pas ainsi car il ne boit pas delibéremment de l'eau polluée ou du poison, il ne mange pas de nourriture pourrie( quand il le sait), il n'élimine pas sa propre vie ou celle des autres à moins que qu'il ne se trouve dans une grave crise mentale.
Dans ce cas, il pourrait dire que sa liberté réside dans son for intérieur, dans ses pensées et dans ses émotions- comme s'il pouvait raisonner et ressentir d'une certaine façon et vivre d'une façon différente dans la pratique- car l'existance externe et sociale est une conséquence de la vie intérieure psychologique. Là réside le grand problème actuel.
L'être humain n'est totalement libre que pour le Bien et non pour le Mal. La pensée et l'émotion qui ne sont pas bonnes représentent un mal, nous n'avons pas de liberté ni pour penser ni pour désirer ce qui est mauvais, et cette attitude détruit la vie psychique.
Ce problème n'apparaît que parce qu'une grande partie des êtres humains s'est habituée à penser " à priori", à placer la fantaisie et l'imagination au dessus de la réalité.
Pensée à priori est l'aboutissement de nos fantaisie,imagination et de l'intellect qui sont sources de fanatisme,dogmatisme et occultisme, terraux de science à priori, philosophie à priori et théologie à priori.
D'aprés cette hypothèse, on peut voir qu'il existe des personnes, des groupes et des pays qui ont pris du retard dans leur développement ou même sont entrés en décadence parce qu'ils ont une pensée à priori.
L'être humain ne peut penser qu'à ce qui existe. La pensée à priori devrait être qualifiée d'imaginaire car elle n'a aucun lien avec la réalité. Elle est même la dénaturation ou la négation du véritable savoir. Quand une idée est correcte même si elle considérée " à priori" en réalité elle n'est pas. Stuart Mill a montré que pour aboutir à un concept général ( par exemple, tous les êtres humains sont mortels), il doit d'abord y avoir une série d'expérience antérieure. Il est donc trés important de différencier un concept conçu à proiri d'avec celui conçu à postéroiri.
L'être humain ne peut penser qu'à ce qui existe sinon il devient fou. Comme, l'humanité a été obligée de vivre dans un "monde" de fantaisies, elle est évidemment devenue malade. C'est pour cette raison qu'il est facile de constater quelles sont actuellement les nations les plus "à proiri". En Asie avec leur mysticisme morbide. L'Afrique n'a pas encore réussi à bénéficier de la science moderne. En Amérique latine, certains pays vivent comme si le monde s'était arrêté il y a 100 ans. Le pire qu'il puisse arriver est que les pays ayant indéniablement un passé scientifique, viennent à sombrer dans une existance hors de la réalité. Les pays en ascension ont une mentalité à postériori, ce qui leur permet de développer leur science et leur technologie.
D'une façon générale, on peut dire que la société créée "à priori" est davantage dépendante de la volonté d'un seul individu. Des exemples typiques sont les dictatures et les régimes fermés qui onterdisent le diologue avec le peuple.
Même certains qui se réclament de la "grande démocratie" ont des idées bornées dans leur démarches incohérente vis-à-vis de la politique, du social et de l'économie.
L'individu trés malade vit entiérement dans ses pensées à proiri, en désirant que le monde s'adapte à lui. Tout le danger apparaît lorsqu'il est hissé à une position de pouvoir et peut infliger à la société se idées contraires à la réalité.
Plus un pouvoir est avide, plus il tend à créer une société à priori, en établissant des lois conformes à ses intérêts immédiats. Le pays devient morose et n'arrive plus à se développer; le peuple sent qu'il se laisse dominer par quelque chose d'extrêmement nocif, qui le détruit.
D'une façon générale, si une nation se développe en étant heureuse, c'est parce qu'elle jouit d'une démocratie légitime. Mais si elle stagne et devient morose c'est parce qu'elle est dominée par un pouvoir mauvais.
La maladie individuelle crée le chaos social, de même que la pathologie sociale plonge l'être humain dans l'enfer. Le premier aspect se réfère à l'introduction dans la société de systèmes et de lois inhumains, établis par des personnes parvenues au pouvoir.
Le second aspect a simplement trait à l'application de règlements contraires à la nature du peuple.
Généralement, lorsque nous disons que l'être humain n'est pas libre, nous démontrons que la structure sociale ne lui permet pas de réaliser le bien; en effet, celle-ci repose sur de fausses bases à priori établies par une personne unique qui a imposé son code de lois.
Tout pays arriéré est plus inconscient et plus malade. La cause principale en est l'extrême envie qu'il a développée avec la difficulté de la conscientiser. La société créée à priori est celle qui est basée sur ce terrible sentiment qui ne permet aucune construction de grande valeur.

Tout peuple soumis à un pouvoir social" à priori " aura peu de possibilités de progresser, tout simplement parce qu'il a été empêché d'atteindre la véritable connaissance.



mercredi 18 avril 2007

PROVOCATION

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salut,

PROVOCATION est sciemment choisie car la lecture de mes textes te percutera et te bousculera intellectuellement, remettant en cause tout ce que tu as accumulé comme connaissance et savoir, te donnant ce sentiment d'être intelligent. Tu sais certaines choses mais tu n'es pas intelligent.
Par provocation, je veux dire ce qui te pose problème,ce qui est nouveau,
inédit et inconnu pour toi.
Nous ne sommes pas intelligents mais nous avons à différent niveau individuel l'habilité de faire des connections de nos acquis pour donner des réponses à nos différents problèmes de la vie.
L'intelligence n'a rien à avoir à cette habilité de manupiler tout ce que nous avons enregistré dans notre mémoire comme savoir.
L'intelligence naît quand tu es à la limite de ce que tu sais et tu ne sais pas. Et cette intelligence est différente de notre définition de l'intelligence. C'est l'instant où il y a incompatibilité entre le connu, ton savoir, et l'inconnu, l'inédit. Et cet instant d'être dans le vide fait naître l'intelligence qui est une énergie puissante à condition de ne pas choisir la fuite comme solution ultime.

Tout le monde est intelligent mais il y a ceux qu'on dit" intelligent " communément grâce à leur habilité de faire des connections rapides de leur connaissance et, ceux qui savent que pour" être intelligent ", il faut se dépouiller du connu car le domaine où l'intelligence est très active, c'est l'inconnu,l'inédit,le nouveau. Tu ne résoudras jamais complétement un problème social , politique et économique qui sont une provocation en soi, un nouveau défi, en utilisant ton savoir qui est le passé et incomplet. Utilisé le passé pour un problème nouveau, ce n'est que prolonger le conflit en créant d'autres nouveaux problèmes.


Nos sociétés ne marchent pas parce que nous n'avons pas pris conscience de cette notion fondamentale que le connu ,comme savoir acquis par expérience, est incompléte pour résoudre un défi présent." LE SAVOIR EST LE PASSE".