mardi 8 mai 2007

TRAVAIL

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Salut,

" Travailler plus, pour gagner plus."
Ce slogan est tendance actuellement chez qui sont contre l'assistanat et les paresseux. Je suis tout à fait d'encore mais ils oublient que ce n'est qu'un slogan. Dans la réalité économique, c'est de l'utopie parce que ce n'est pas une voie pour résoudre le chômage et son utilisation ne se fera qu' au cas par cas. Ce qui doppe la croissance économique dans des pays développés, c'est le management des sociétés.
Pour survivre dans les années à venir, les organisations qui réussiront- dans les affaires, les administrations, les associations- devront subir un profond changement culturel. Leurs membres devront penser plus vite, travailler plus intelligemment, rêver plus grand et interagir de façon très différente en faisant participer les travailleurs à différent niveau de l'entreprise. Dans tout cela, le plus important: ce changement culturel exige une race nouvelle de leaders, des leaders totalement différents des patrons pour lesquels la plupart d'entre nous avons travaillé, et que nous sommes devenus.

L'entreprise ou des réformes ne peuvent plus être dirigées " au fouet " depuis un fauteuil.
Les leaders d'aujourd'hui doivent avoir une véritable vision et un sens des valeurs humaines pour l' organisation de la société. Le monde est trop imprévisible, trop volatil, trop changeant pour une approche peu inspirée au dialogue.Ce qui s'avère nécessaire est bien plus profond que le mangement traditionnel. Ce dont nous avons besoin, c'est de LEARDERSHIP. Le leadership aide chacun à réussir ce qu'il est capable de faire sans mettre derrière chaque travailleur un chômeur, établit une vision pour l'avenir, encourage, guide, établit et entretient des relations réussies par un discours unificateur.

D'après le dictionnaire Robert, Travailler est issu d'un latin populaire" tripaliare",- littéralement,tourmenter, torturer- avec le "trepalium", du bas latin trepalium, nom d'un instrument de torture. Travail avec son sens technique de " machine où l'on assujettit les boeufs, les chevaux difficiles pour les ferrer" est issu par la même évolution qui aboutit à travailler " du bas latin trepalium.

Toute entreprise dépend du travail qui devraient résider dans une organisation parfaite; son développement est réalisé à travers l'organisation et la promotion. Dans le régime capitaliste, une entreprise est structurée en deux secteurs différents; d'un côté, les travailleurs soumis à un rythme de travail le plus intense possible, de l'autre le groupe de la direction et des actionnaires constitués de gens qui visent à retirer le plus de profits possibles de l'activité des premiers. D'un côté est imposé un style de vie spartiate, avec le moins d'informations possibles; de l'autre, les directeurs qui ont créé une chaîne de contrôle, d'informations et même de corruption pour dominer ceux qui travaillent, connaissent les données légales du pays( ses lois et coutumes ) et utilisent des techniciens pour corrompre les individus de l'intérieur afin d'obtenir des avantages financiers. Ceci est le cadre psychoscial des entreprises capitalistes actuelles. Il faut admettre qu'il est possible d'avoir des entreprises honnêtes, tout comme dans le passé il a existé d'incroyables individus qui étaient propriétaires d'entreprises et qui devinrent célèbres par leur idéalisme( Il faut reconnaître que dans le monde des entrepreneurs, il y a des personnes de grande qualité morale et éthique).
La fin du chômage, de la récession et de la rigueur ne sauraient venir du capitalisme, ni de socialisme ou sociodémocratie. La raison la plus simple est que le monde est dirigé sur des critères du capitalisme. Un individu crée une entreprise, il pense à l'utilité qu'elle aura pour lui et tentera de l'organiser de manière à réaliser ses désirs égoistes. Cette attitude créé immédiatement toutes sortes d'obstacles au propre développement de son travail. Si l'entreprise est construite principalement pour le bénéfice de l'humanité, cette structure aurait immédiatement une dimension plus ample et en peu de temps elle pourrait avoir un développement incroyable.
Ni le capitalisme, ni le socialisme et ni la sociodémocratie ne résoudra le problème du chômage tant que le capitalisme sauvage vampirisera le monde socioéconomique et politique. Il y a une troisième voie connue mais ignorée volontairement par les tout puissants, c'est le modèle de société et d'entreprise créé par NORBERTO KEPPE qui est l'ENTREPRISE TRILOGIQUE.
Le fonctionnement de l'entreprise trilogique en comparaison aux entreprises traditionnellement ce qu'il n'existera ni patrons, ni employés, ni salaires fixes, ni actionnaires et l'entreprise appartient aux travailleurs eux-mêmes, qui seront associés et éliront un coordinateur dont le pouvoir sera contrôlé par l'ensemble des travailleurs. Les bénéfices de ces nouvelles entreprises devront être divisés entre tous, selon les capacités et la production de chacun. La finalité de ce nouveau modèle d'entreprises dans lesquelles la technique de conscientisation est à la base du bon fonctionnement, est de valoriser le travail et non pas le capital afin d'éviter:
1) la spéculation;2)l'exploitation des travailleurs;3)les injustices;4)l'abus du pouvoir.
En effet, le type d'entreprise capitaliste génére mécontentement et tensions parce que les profits y vont aux propriétaires et aux actionnaires, n'accordant qu'un minimum à ceux qui produisent (par exemple, le problème d'AIRBUS et EADS). Par contre, dans les entreprises Trilogiques, seuls ceux qui travaillent, peuvent bénéficier des profits de l'entreprise, balayant ainsi le contrôle des actionnaires sur l'organisation de l'entreprise et l'image du capitaliste qui ne gagne que pour posséder des moyens de production. Le travail trilogique favorise la spécialisation, en même temps qu'il amplifie la culture parce que chaque individu deviendra plus habile afin de gagner plus, s'apercevant que le meilleur chemin est de devenir productif. Ainsi, chacun cherchera à améliorer son type d'activité ou passera à une nouvelle, lui procurant un meilleur rendement.

"LA GUERISON DE TOUS LES MAUX DE L'HUMANITE EST LE TRAVAIL CORRECT ET NON CELUI D'EXPLOTATION" dit Norberto Keppe.

samedi 5 mai 2007

LA SOCIETE UNIFIEE

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Salut,

De même qu'un être humain isolé dépérit, un pays distant des autres entre inévitablement dans la voie de la décadence et de la destruction ; car il n'entre dans le chemin étroit du développement, non pas par l'action de son peuple, mais grâce à ses contacts internationaux.
Ce phénomène a pu être observé dans le passé par l'énorme croissance des Etats-Unis, quand ils accueillirent des millions d'Européens et des Africains esclaves,et à la suite de leur rôle mondial pendant les 2 guerres mondiales.
L'Allemagne, à la fin du 19è siècle et au commencement du siècle dernier avait établi des relations commerciales et culturelles avec toutes les autres nations; il en a été de même avec le célèbre Empire Britannique et auparavant avec la France. On observe actuellement le même phénomène avec les nations qui croissent le plus: Allemagne, les pays du nord de l'Europe, Espagne , Inde et Chine.
S'ouvrir aux autres, est une garantie de développement.
A l'inverse, on constate le retard de pays isolés, comme le Sud de l'Asie, l'Afrique,l'Europe de l'Est. Même si un pays réussit à se développer, il n'a pas la possibilité de créer et d'appliquer à l'intérieur de ses frontiéres toutes les découvertes et toutes les transformations sociales. La raison du progrés d'un peuple ne réside pas dans ce qu'il invente mais dans la façon dont il utilise ce qui a été découvert par l'humanité ou ce que les autres font de meilleurs.
"Ce qui est uni, se développe mais ce qui est isolé ,dépérit."
Ce phénomène peut être observé chez les pays qui se sont éloignés de la communauté internationale et qui regrettent amèrement aujourd'hui leur énorme retard. Je parle des pays de l'Est européen, des nations du Sud-Est asiatique; d'une façon générale, l'Afrique en dehors de l'Afrique du Sud grâce au génie politique de Nelson MANDELA, et certains nations de l'Amérique latine. Il existe également certains pays qui s'éloignent à l'ouverture aux autres et qui souffrent alors de graves conséquences sociales, politiques et économiques
Quand on dit d'une cité qu'elle a eu un grand développement, c'est qu'elle avait eu un grand rôle international.
Il suffit de se rappeler de l'antique Babylone, de Rome, de l'extraordinaire influence de Paris, de Londres, de Vienne, en partie de Léningrad; après la 2ème guerre mondiale, de New York, de Los Angeles et même de Buenos aires et de Sâo Paulo.
Au début de ce siècle, les nations les plus internationales sont en train de reprendre la direction de la nouvelle Civilisation du 3ème Millénaire.
Même pour le problème racial, les individus issus de races différentes ont un meilleur niveau intellectuel que ceux issus d'une seule race. On peut facilement remarquer que, au Brésil, les descendants d'allemands et de latins sont beaucoup plus développés; les mulâtres sont plus habiles que leurs ancêtres blancs ou noirs; les descendants de nippons et de brésiliens sont plus détendus que leurs ascendants. En Europe, les pays où se sont produits des mélanges de races, se sont signalés par leurs plus grands progrés culturels et technologiques; Allemagne, Angleterre, France et Italie. La mixité des peuples est une grande richesse.

On peut établir un bilan entre les nations avancées et les nations arriérés, qui sont plus distants en decrivant 3 types d'isolement..A part l'isolement géographique, il y a l'isolement politique qui survient quand une dictature prend possession d'un pays et, l'isolement économique créé par les pays qui cherchent à améliorer leur position en entravant la venue de représentants d'autres régions du monde. C'est ce qui commence à se passer dans certains pays de l'Europe. Pour ces derniers, les résultats nocifs se font sentir actuellement de façon très aiguë: les africains et les arabes ont toujours été des esclaves idéaux pour les Européens; les mexicains et les latino-américains, des esclaves idéaux pour les nord-américains, de même que les irlandais pour les anglais. Ces pays pensent que les gens qui viennent d'ailleurs, sont des intrus et des profiteurs, et expulsent exactement ceux qui les aident pour leur développement.
Il est extrêmement important que chaque pays se rende compte que ce sont les individus les plus habiles et les plus capables qui se déplacent vers d'autres pays, lieux, à la recherche de meilleures conditions de vie. C'est ainsi que les Amériques en général ont reçu dans le passé les meilleurs de l'Europe et, comme aujourd'hui la Chine reçoit les meilleurs du monde entier.

NORBERTO KEPPE
m'a appris une chose importante:" Tout gouvernement intelligent favorise la venue de personnes ayant des idées et des capacités diffèrentes de son peuple pour que ce dernier puisse s'améliorer. Et la fermeture géographique des frontières est équivalent au processus maladifs d'isolement individuel, quand l'individu commence à souffrir d'une maladie mentale grave."


Il existe trois aspects basiques de l'existence qui sont l'Action, la Vérité et la Bonté. Et les trois doivent fonctionner conjointement pour que l'homme puisse se réaliser pleinement. Par exemple, la civilisation américaine représente un pragmatisme absolu où tout se résume dans l'action, quelle qu'elle soit. Le résultat de ce mode de vivre a conduit ce peuple à la superficialité et à une grande uniformité de conduite où tous font le même chose. Les aliments, les vêtements, les voitures, les habitudes et les conversations sont semblables dans tout le pays.
D'un autre côté, nous voyons la civilisation européenne basée sur des concepts intellectuels mais défaillante dans l'action; et la civilisation orientale( hindoue) est restée sur les sentiments très arriérés et que l'afrique est plongée dans un primitisme profond.
En tout cas, l'EUROPE est restée malgré ses problèmes sur de bonnes bases pour reprendre les rênnes de la civilisation si elle réussit à concilier le sentiment, l'intellect et l'action.
Ceci est résumé dans le processus trilogique, découverte après d'immense recherche par N.KEPPE. Si ce processus trilogique était appliqué à la vie de la société, il ferait retrouver à l'humanité son équilibre et lui permettrait d'atteindre le plus haut degré de développement.
Les peuples européens sont éxagérement rationaliste mais ce sont les seuls capables de travailler avec les bons sentiments pour atteindre ce degré de développement.

Je terminerai par cette magnifique affirmation singulière de J.Krishnamurti:" Je suis l'humanité, et non la collectivité." -Si vous considérez l'homme sur le seul plan de la collectivité, il perd toute son humanitude et vous ne pouvez être bon pour lui. Au contraire, si vous savez que votre conscience est la conscience de tous les êtres humains, vous êtes à même de traiter l'individu en tant que personne et non plus comme un élément anonyme perdu dans la masse. Comprendre cela, c'est affirmer être l'humanité. La conscience des êtres humains est partout la même et ce n'est que son évolution au cours de sa vie qui la différencie d'autres consciences.-

Voilà enfin que je vous ai défini trois différents types de sociétè avec l'aide de mes connaissances en psychoanalyse intégrale. Dans mes prochaines publications, je m'expliquerai plus d'avantage.
L'enseignement de NORBERTO KEPPE a pour dessein d'expliquer comment se forme les problèmes dans une sociétè et donne des solutions pour les résoudre. Et il faut avoir un minimum d'équilibre mental afin de prendre une certaine distance vis-à-vis des problèmes de la sociétè et être capable de les analyser.
Ce qui alimente sa propre pathologie est facilement accepté, alors que tout ce qui aide à son développement et de la sociétè est rejeté. ce n'est qu'à travers une vision pénétrante ou perception globale qu'on pourra comprendre l'enseignement N.KEPPE.

NOTRE SOCIETE HUMAINE EST MALADE ET IL NE FAUT PAS LA LAISSER ENTRE LES MAINS DES GENS MEGALOMANE, THEOMANIAQUE ET SCHIZOPHRENES.


dimanche 29 avril 2007

LA SOCIETE ORGANISEE A POSTERIORI

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Salut,

On peut observer que chaque pays a ses caractéristiques et que les peuples vivent de façon différente les uns des autres. Chaque continent présente une certaine ressemblance dans les attitudes, ce qui fait qu'un Asiatique a certaines particularités que l'Européen n'a pas ; les Américains pensent à peu prés la même chose et que les Africains poursuivent leur existance sui-generis. Cette attitude caractéristique de chaque région du globe provient fondamentalement de sa façon de sentir et de penser.
Mais la finalité est de vérifier pourquoi certains peuples sont retardés et plus malades tandis que les autres continuent à se développer ou se sont arrêtés. La première conclusion qui s'impose est que:

a) les Asiatiques sont ceux qui se développent le plus en ce moment;
b) les Américains sont stationnaires ou sont entrés en décadence;
c) les Africains n'arrivent pas à sortir de leur primitisme;
d) les Européens ont retrouvé un certain souffle vers le progrés.

Cependant, on note nulle part une reprise du développement culturel, artistique, scientifique et technique centré au même endroit. Ceci nous avertit qu'il se passe quelque chose d'anormal dans la société humaine terrienne. Il faut admettre que la civilisation dans son ensemble passe par une crise aiguë qu'il serait urgent de comprendre pour qu'elle puisse être soignée à temps et ne périsse pas complètement.
En comparant la pathologie sociale et la pathologie psychique, on constate que la cause de tous les maux humains et sociaux réside dans le comportement social et individuel, basé sur les sentiments et les pensées; si ces derniers sont déformés ou détruits, la société et l'homme deviendront malades. Il y aura alors nécessité de les guérir pour qu'ils retrouvent leur équilibre et la civilisation. La première démarche décisive est de prendre conscience à la société.
On observe qu'en Europe, il existe des peuples agressifs, d'autres dépressifs, et certains de caractére aimable et équilibré. On peut noter une certaine hétérogénéité entre le comportement isolé et trés affectif, et une attitude un peu originale de certains. En général, tous ont conservé une base culturelle commune qui pourra être développée avec excés.
Pour "guérir" une société, il est nécessaire:

1) de voir les erreurs présentes et passées;
2) de n'autoriser par suite que certain. De sorte qu'il y a 2 démarches: la prise de conscience des problèmes ou l'acceptation de toute la réalité qui avait été récusée.

La Société à priori est basée sur la Fantaisie, l'Imagination et l'Intellect. De ceci, le Fanatisme, le Dogmatisme et l'Occultisme apparaissent dans ce type de société ainsi qu'une Science à priori, une Philosophie à priori et une Théologie à priori.
La Société à postériori se base sur l'Expérimentation et Intellect, l'Intuition et la Conscience et le Sentiment et Sens. Sur cette base, la connaissance est en action pour une technique, une cosmovision et spiritualité en phase avec la réalité; ce début de la connaissance crée une Science, une Philosophie et une Théologie positive; et la base de la connaissance est en contact fondamental avec la réalité.
Dans la société à priori domine une pseudo science, philosiphie et théologie. Je pourrai donner comme exemple l'Inde, jusqu'à ces dernières années, les peuples Africains et en partie le Moyen Orient.
Les sciences organisées, à postériori, sont en général plus avancées( Européennes, Asiatiques et Américaines). Cependant, certaines peuvent changer de phase. Par exemple, les Anglais et les Américains qui étaient profondément expérimentales sont revenus à l' apriorisme, ce qui les a conduits au déclin surtout moral. Les peuples Asiatiques sont entrain de sortie de leur attitude subjective et d'élaborer une civilisation ultramoderne.
La société à priori ne se devéloppe pas ou même périt parce qu'elle vit dans le fanatisme, le dogmatisme, et l'occultisme en dehors de la réalité. Seuls, les groupes à postériori réussissent à croitre parce qu'ils travaillent avec le réel.

Un pays ne vaut que par son peuple et non pas pour sa superficie ou l'importance de ses richesses naturelles.

dimanche 22 avril 2007

LA SOCIETE CREEE A PRIORI

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salut,

Je me livre un texte de NORBERTO.R.KEPPE qui est un psychanalyste brésilien, fondateur de la psychoanalyse intégrale qui s'appellera plus tard Trilogie Analytique.
C'est l'unification de la spiritualité, de la philosophie et de la science. Son expérience pratique dans le domaine de culture,de psychologie, de psychanalyse et de réligion ainsi que ses enseignements par sa personnalité charismatique m'ont permis de me rendre compte que je ne suis pas malade. J'ai un minimum d'équilibre afin de prendre une certaine distance vis-à-vis de la pathologie de la société et je suis capable de l'analyser.
Il dit toujours que ce qui alimente sa propre pathologie est facilement accepté, alors que tout ce qui aide à son développement est rejeté.

L'être humain contemporain pense pouvoir accepter ou refuser ce qu'il veut et qu'il existe une "liberté "absolue pour faire le bien ou le mal, sans devoir contrarier un désir quelconque dans ce sens.
Pourtant dans la réalité, il ne s'agit pas ainsi car il ne boit pas delibéremment de l'eau polluée ou du poison, il ne mange pas de nourriture pourrie( quand il le sait), il n'élimine pas sa propre vie ou celle des autres à moins que qu'il ne se trouve dans une grave crise mentale.
Dans ce cas, il pourrait dire que sa liberté réside dans son for intérieur, dans ses pensées et dans ses émotions- comme s'il pouvait raisonner et ressentir d'une certaine façon et vivre d'une façon différente dans la pratique- car l'existance externe et sociale est une conséquence de la vie intérieure psychologique. Là réside le grand problème actuel.
L'être humain n'est totalement libre que pour le Bien et non pour le Mal. La pensée et l'émotion qui ne sont pas bonnes représentent un mal, nous n'avons pas de liberté ni pour penser ni pour désirer ce qui est mauvais, et cette attitude détruit la vie psychique.
Ce problème n'apparaît que parce qu'une grande partie des êtres humains s'est habituée à penser " à priori", à placer la fantaisie et l'imagination au dessus de la réalité.
Pensée à priori est l'aboutissement de nos fantaisie,imagination et de l'intellect qui sont sources de fanatisme,dogmatisme et occultisme, terraux de science à priori, philosophie à priori et théologie à priori.
D'aprés cette hypothèse, on peut voir qu'il existe des personnes, des groupes et des pays qui ont pris du retard dans leur développement ou même sont entrés en décadence parce qu'ils ont une pensée à priori.
L'être humain ne peut penser qu'à ce qui existe. La pensée à priori devrait être qualifiée d'imaginaire car elle n'a aucun lien avec la réalité. Elle est même la dénaturation ou la négation du véritable savoir. Quand une idée est correcte même si elle considérée " à priori" en réalité elle n'est pas. Stuart Mill a montré que pour aboutir à un concept général ( par exemple, tous les êtres humains sont mortels), il doit d'abord y avoir une série d'expérience antérieure. Il est donc trés important de différencier un concept conçu à proiri d'avec celui conçu à postéroiri.
L'être humain ne peut penser qu'à ce qui existe sinon il devient fou. Comme, l'humanité a été obligée de vivre dans un "monde" de fantaisies, elle est évidemment devenue malade. C'est pour cette raison qu'il est facile de constater quelles sont actuellement les nations les plus "à proiri". En Asie avec leur mysticisme morbide. L'Afrique n'a pas encore réussi à bénéficier de la science moderne. En Amérique latine, certains pays vivent comme si le monde s'était arrêté il y a 100 ans. Le pire qu'il puisse arriver est que les pays ayant indéniablement un passé scientifique, viennent à sombrer dans une existance hors de la réalité. Les pays en ascension ont une mentalité à postériori, ce qui leur permet de développer leur science et leur technologie.
D'une façon générale, on peut dire que la société créée "à priori" est davantage dépendante de la volonté d'un seul individu. Des exemples typiques sont les dictatures et les régimes fermés qui onterdisent le diologue avec le peuple.
Même certains qui se réclament de la "grande démocratie" ont des idées bornées dans leur démarches incohérente vis-à-vis de la politique, du social et de l'économie.
L'individu trés malade vit entiérement dans ses pensées à proiri, en désirant que le monde s'adapte à lui. Tout le danger apparaît lorsqu'il est hissé à une position de pouvoir et peut infliger à la société se idées contraires à la réalité.
Plus un pouvoir est avide, plus il tend à créer une société à priori, en établissant des lois conformes à ses intérêts immédiats. Le pays devient morose et n'arrive plus à se développer; le peuple sent qu'il se laisse dominer par quelque chose d'extrêmement nocif, qui le détruit.
D'une façon générale, si une nation se développe en étant heureuse, c'est parce qu'elle jouit d'une démocratie légitime. Mais si elle stagne et devient morose c'est parce qu'elle est dominée par un pouvoir mauvais.
La maladie individuelle crée le chaos social, de même que la pathologie sociale plonge l'être humain dans l'enfer. Le premier aspect se réfère à l'introduction dans la société de systèmes et de lois inhumains, établis par des personnes parvenues au pouvoir.
Le second aspect a simplement trait à l'application de règlements contraires à la nature du peuple.
Généralement, lorsque nous disons que l'être humain n'est pas libre, nous démontrons que la structure sociale ne lui permet pas de réaliser le bien; en effet, celle-ci repose sur de fausses bases à priori établies par une personne unique qui a imposé son code de lois.
Tout pays arriéré est plus inconscient et plus malade. La cause principale en est l'extrême envie qu'il a développée avec la difficulté de la conscientiser. La société créée à priori est celle qui est basée sur ce terrible sentiment qui ne permet aucune construction de grande valeur.

Tout peuple soumis à un pouvoir social" à priori " aura peu de possibilités de progresser, tout simplement parce qu'il a été empêché d'atteindre la véritable connaissance.



mercredi 18 avril 2007

PROVOCATION

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salut,

PROVOCATION est sciemment choisie car la lecture de mes textes te percutera et te bousculera intellectuellement, remettant en cause tout ce que tu as accumulé comme connaissance et savoir, te donnant ce sentiment d'être intelligent. Tu sais certaines choses mais tu n'es pas intelligent.
Par provocation, je veux dire ce qui te pose problème,ce qui est nouveau,
inédit et inconnu pour toi.
Nous ne sommes pas intelligents mais nous avons à différent niveau individuel l'habilité de faire des connections de nos acquis pour donner des réponses à nos différents problèmes de la vie.
L'intelligence n'a rien à avoir à cette habilité de manupiler tout ce que nous avons enregistré dans notre mémoire comme savoir.
L'intelligence naît quand tu es à la limite de ce que tu sais et tu ne sais pas. Et cette intelligence est différente de notre définition de l'intelligence. C'est l'instant où il y a incompatibilité entre le connu, ton savoir, et l'inconnu, l'inédit. Et cet instant d'être dans le vide fait naître l'intelligence qui est une énergie puissante à condition de ne pas choisir la fuite comme solution ultime.

Tout le monde est intelligent mais il y a ceux qu'on dit" intelligent " communément grâce à leur habilité de faire des connections rapides de leur connaissance et, ceux qui savent que pour" être intelligent ", il faut se dépouiller du connu car le domaine où l'intelligence est très active, c'est l'inconnu,l'inédit,le nouveau. Tu ne résoudras jamais complétement un problème social , politique et économique qui sont une provocation en soi, un nouveau défi, en utilisant ton savoir qui est le passé et incomplet. Utilisé le passé pour un problème nouveau, ce n'est que prolonger le conflit en créant d'autres nouveaux problèmes.


Nos sociétés ne marchent pas parce que nous n'avons pas pris conscience de cette notion fondamentale que le connu ,comme savoir acquis par expérience, est incompléte pour résoudre un défi présent." LE SAVOIR EST LE PASSE".